Cristal de Bohême.
Petite étincelle perdue
Vers moi revenue
A caresses d'ailes,
Le cristal brille
De son cœur Bohême
Eternel !
Je suis l'Enfant devenu grand,
Levant les voiles
Qui ballotent les années dans
Le vent salé
Des nuits belles,
Du ciel Profond
Et argenté.
Jour étincelle,
Enfant de l'Etoile
Et de son matin,
J'accueille sur les rives
De l'Aurore,
Ton rire
Dans mon cœur,
Ton feu
Qui fait fondre en Or,
Tous les lendemains...
Oh, Matin fait de l'or de tes lendemains !
Présent, présent, présent... Je t'honore.
Le présent est la somme des lendemains consumés dans l'instant d'un passé, s'abandonnant dans les bras de son destin.
Philippe Belardi.
LE POETE D'AILLEURS ET LES FRAGMENTS DU REEL : Ce blog est l'invitation à partager ensemble autour du verbe et de ses nombreuses combinaisons créatrices, "l'espace" dans lequel la pensée se meut pour nous parler de nous. L'Homme demeure une énigme pour lui-même, et il a pour devoir ultime de la résoudre. L'une des voies qui s'offre à lui est d'aller interroger le Verbe et la Pensée dans ce "lieu mystique" qui est notre langue. Là où se jouent d'elles-mêmes ces deux figures de l'Être.
samedi 21 décembre 2019
dimanche 14 juillet 2019
L'Archaïque dit le cheyenne
Un chat sauvage s'est éteint, une étoile s'est allumée.
Il transportait le ciel depuis trop longtemps
sur son manteau couleur sable,
Et ses yeux suffisaient pour le dire,
Car vous y lisiez notre galaxie
et toutes les promesses
qui nous sont adressées par delà
notre présent trop présent.
Il était le désert abritant la source d'eau vive.
L'archaïque avait traversé les âges et le temps
pour venir nous compter sa sagesse,
par son calme, sa gentillesse parfois même sa sensibilité…
S'il était sauvage et vigilant, il avait su baisser sa garde
Pour se livrer : un cœur de sage dans l'écrin d'un corps de chat ! Sa forme avait été choisie
pour son charme et sa force, il en résultait une étrange et subtile alchimie qui captivait votre pensée et votre émotion, car le cheyenne n'était pas un chat ordinaire, le cheyenne venait d'ailleurs, un ailleurs fait de montagnes de cristal sculptées dans la lumière du soleil bleu clair, ... Saphir.
Ses yeux, son regard et le fond qu'ils abritaient resteront gravés dans notre mémoire et nos cœurs !
Merci Cheyenne, d'avoir croisé notre route,
Tu as quitté notre humble maison pour une plus belle demeure,
Tu nous as laissé un message d'espoir, de cœur,
Nous t'en sommes reconnaissants.
Cheyenne, continue ton voyage,
Nous, nous te gardons dans notre cœur.
Noune et Philippe.
Il transportait le ciel depuis trop longtemps
sur son manteau couleur sable,
Et ses yeux suffisaient pour le dire,
Car vous y lisiez notre galaxie
et toutes les promesses
qui nous sont adressées par delà
notre présent trop présent.
Il était le désert abritant la source d'eau vive.
L'archaïque avait traversé les âges et le temps
pour venir nous compter sa sagesse,
par son calme, sa gentillesse parfois même sa sensibilité…
S'il était sauvage et vigilant, il avait su baisser sa garde
Pour se livrer : un cœur de sage dans l'écrin d'un corps de chat ! Sa forme avait été choisie
pour son charme et sa force, il en résultait une étrange et subtile alchimie qui captivait votre pensée et votre émotion, car le cheyenne n'était pas un chat ordinaire, le cheyenne venait d'ailleurs, un ailleurs fait de montagnes de cristal sculptées dans la lumière du soleil bleu clair, ... Saphir.
Ses yeux, son regard et le fond qu'ils abritaient resteront gravés dans notre mémoire et nos cœurs !
Merci Cheyenne, d'avoir croisé notre route,
Tu as quitté notre humble maison pour une plus belle demeure,
Tu nous as laissé un message d'espoir, de cœur,
Nous t'en sommes reconnaissants.
Cheyenne, continue ton voyage,
Nous, nous te gardons dans notre cœur.
Noune et Philippe.
dimanche 17 mars 2019
Poésie
Poésie,
Je t’ai prise au mot, tu m’as pris le cœur,
Ce soir où le mal en peine
M’avait conduit à toi sur les toits de Paris,
Tout-là haut,
Où le ciel me confiait son Etoile ouverte aux pétales de ma
vie.
Alors demain
Le matin pourra se lever,
Alors demain
Le matin pourra se lever,
Je ne quitterai mon rêve que pour la retrouver,
Te retrouver...
Au beau milieu d’un sonnet, d’une prose assoiffée,
Etreinte de ton amour, de ta passion,
Oh volupté !
Oh volupté !
Poésie, je t’écris sans conter
Pour entendre ta voix si, par chance,
Ton murmure, dans le silence,
Me chuchotait les rimes esseulées.
Philippe Belardi, Poésie,
17 mars 2019. Poème dédié à André Breton.
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